Collier Dinh Van Double Coeurs R9 Or Rose 1/2 Diamants Chaîne
2 200.00€
Collier Double Cœurs Dinh Van R9 – or rose, 1/2 diamants chaîne dinh van
Les Menottes dinh van prennent la forme de cœurs, pour symboliser un lien d’amour ou d’amitié.
Les créations dinh van sont en or 750‰.
Longueur : 42 cm
Collier Dinh Van Double Coeurs R9 Or Rose 1/2 Diamants Chaîne
Or rose & diamants
dinh van utilise de l’or finesse de 750‰ (18 carats). Cette finesse est un standard de la joaillerie française.
Un bijou dinh van est délicat et doit être traité avec le plus grand soin. Quelques gestes et précautions simples vous permettront de préserver la beauté et l’éclat de votre bijou dinh van.
Nous recommandons d’éviter les chocs et le risque de rayures qui pourraient altérer l’aspect de votre bijou.
Nous recommandons d’éviter de porter vos bijoux en accumulation qui peuvent s’abîmer par frottements.
Double Coeurs
Le Célèbre fermoir Menottes dinh van prend aussi la forme de Double Coeurs, pour une interprétation romantique du Toi et du Moi.
Né en 1927 près de Paris, Jean Dinh Van voulait être marin. Heureusement pour les femmes, il décide, sous l’influence de son père, artisan laqueur, de créer des bijoux. Après avoir étudié aux Beaux-arts de Paris, il apprend le métier d’artisan joaillier chez Cartier, et entame une histoire d’amour avec le métal. Cette expérience lui a permis de se forger une vision très personnelle du luxe et de la beauté.
Au milieu des années 60, fatigué de façonner des fleurs et des panthères pour les mondaines et les aristocrates, il souhaite faire descendre le bijou dans la rue. Il s’intéresse à son époque, à tout ce qui est nouveau : au prêt-à-porter de Paco Rabanne et Pierre Cardin, aux meubles de Knoll, à la publicité de Marcel Bleustein-Blanchet. Au sein d’un groupe de créateurs, il aspire à plus de modernité et souhaite sortir le bijou des contraintes de la préciosité. Il ambitionne de créer des bijoux à porter tous les jours pour des femmes en pleine émancipation.
C’est ainsi que Jean Dinh Van fonde sa maison en 1965 place Gaillon, non loin de la rue de la Paix. Iconoclaste, il invente une joaillerie essentielle, personnelle, une joaillerie du quotidien. Il inverse la démarche joaillière en créant des bijoux qui se destinent ceux qui les portent davantage qu’à ceux qui les regardent.